jeudi 2 octobre 2014

SCC3/8 - Après avoir été incarcérée pour identification de son propriétaire, une chèvre délinquante mord un autre détenu qui partageait le même cachot

Nzombo le soir ? (8)



On attend.
On apprend que le cours du cuivre flambe et que la production de la société minière Kamoto Copper Company (KCC), au Katanga, affiche une forte croissance. Malgré cela, l'entreprise annonce systématiquement des résultats déficitaires. KCC appartient à 75 % à cinq sociétés établies dans des paradis fiscaux (îles Vierges britanniques et Guernesey), propriétés elles-mêmes du groupe Katanga Mining Limited (KML). Et KML est détenu par le suisse Glencore, géant du négoce et de l'extraction minière. 
On attend.
On apprend que deux personnes ont été mordues par une chèvre dans le secteur de Sangu, territoire de Katanda, à 60 km de Mbuji-Mayi, dans le duché du Kasaï oriental. Le sorcier ayant reçu la baronnie en prébende affirme qu’une fillette de huit ans, sortant des toilettes, a été agressée par une chèvre qui lui a donné un coup de tête avant de la mordre à la jambe. La chèvre a été amenée au sous-ciat, de façon à permettre l'identification de son propriétaire, et y a mordu un autre détenu, incarcéré avec elle dans le même cachot. La chèvre et les deux victimes ont été acheminées à Mbuji-Mayi pour y être examinés par les services vétérinaires.
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On apprend que Charmant Mangwaki, chef du village Buloloma, et Floribert Rezova, notable, ont été tués à bout portant par deux hommes armés et en uniforme alors qu’ils discutaient sous une paillote. Les auteurs et le mobile de ce double meurtre ne sont pas encore connus mais les habitants de cette localité accusent des corps habillés en kaki d'être responsables de cet assassinat. Depuis deux mois, en effet, des pillages, des extorsions et des assassinats ont été enregistrés sur la route nationale numéro 4 ainsi que dans les localités d’Erengeti, Oicha, Mayi Moya et Mbau, actes commis le plus souvent par des militaires indisciplinés. Le porte-parole de l’armée au Nord-Kivu nie les accusations portées contre les corps habillés des FARAL. Il demande aux accusateurs d’apporter les preuves de leurs allégations.
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On apprend que le Français Médéric Clain a remporté la quatrième 
- Et la troisième, Douchka ? 
- Allo coucou, petite chérie ! Hola caracola ! La troisième, demandes-tu ? Pourquoi tu veux savoir ça ? C'est pour un pari ?
- Non ! C'est pour faire semblant de m'intéresser à ton roman...
- Elle a été agnée par un Burkinabè, ma puce ! Un dénommé Mikema Aziz ! 

étape du deuxième tour cycliste de la République autocratique du Luabongo, courue entre Kimpese la ville-duché d'Expo. Clain qui avait remporté le Tour l’année passée, a devancé l’Ivoirien Cissé Isiaka et le Rwandais Xavier Ady. Le premier Luabongais à avoir franchi la ligne d’arrivée, Nzuzi Manueno, a terminé quatrième. 
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On apprend qu'un arrêt de travail a été observé par les services chargés de fouiller les bagages à l’aéroport international de la Luano à Lubumbashi. Les agents de ces services protestaient contre l’arrestation de certains d’entre eux après une altercation avec une voyageuse qui avait refusé que ses bagages soient fouillés avant d’embarquer dans l’avion pour la capitale. Je m'interroge : « Ohooh ? S'agirait-il d'une cantatrice de niveau international, d'une sorcière réputée recourir aux services de crapuleux ? Ou, tout simplement, de l'épouse d’un haut dignitaire de la sorcellerie (sorcier régalien ou feudataire), disposant d’un ordre de mission et venue de la ville-duché d'Expo faire des courses ou des affaires à Lubumbashi avec sa suite ou son cabinet ?  » La dame aurait tenu des propos injurieux à l’encontre des agents en service commis à la fouille. Elle aurait ensuite contacté « quelqu'un » à Expo et, peu de temps après, des magistrats du parquet près le tribunal de grande instance de Lubumbashi ont débarqué à l’aéroport et ont arrêté des agents de Korongo Airlines et de la RVA. Deux agents de la Régie des voies aérienne (RVA) sont encore détenus au cachot du parquet de Lubumbashi. Je m'interroge : « Ohooh ? Pour subversion ? Pour atteinte à la sûreté de la sorcellerie et à l'honneur de ses dirigeants et de leurs dépendants ? » Entre temps, la dame est bien retournée dans la ville-duché d'Expo sans avoir été fouillée et sans que l'on sache ce qu'elle transportait... et qu'elle tenait absolument à garder caché.
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On apprend que dix militants de Greenpeace, à bord de trois zodiacs, bloquent le cargo Safmarine Sahara, navire en provenance du Luabongo battant pavillon anglais, à l’entrée du port de La Rochelle. Peu auparavant, les militants de Greenpeace avaient approché le cargo dans l'avant-port et peint l'inscription "Bois illégal" en grande lettres blanches sur ses flancs. Selon Greenpeace, une partie des 3.000 m3 de bois (bossé, sipo, sapelli, notamment) transporté par le Safmarine Sahara serait, en effet, du bois illégal. Le cargo a rebroussé chemin et décidé de mouiller au large.
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On apprend que le coureur français Clain Médéric, déjà vainqueur de la quatrième étape, a également remporté la 5è étape de la 2è édition du tour cycliste international de la République autocratique du Luabongo. Jean-Louis Tshiambe est le premier coureur Luabongais à avoir franchi la ligne d’arrivée. La 6e étape, entre Kikwit et Masimanimba (140 km), a été remportée par le Malgache Emile Randrianantenaïma devant 
- Et les cyclistes du Luabongo, Douchka ?
- Le premier coureur Luabongais de la 6e étape, Djanni Mayele, a terminé 8è, petite chérie ! C'était encore pour ton pari ?
- Va te faire voir ! Je ne te téléphonerai plus !

le cycliste rwandais Nathan Byukusenge, suivi du Burkinabè Yameogo Amidou lequel est devenu le nouveau maillot jaune. 
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On apprend que le tronçon de la route nationale n°1 allant de Mbuji-Mayi à Mwene-Ditu est menacé par les érosions à la hauteur de Tshitenge à une dizaine de kilomètres de la ville diamantifère. Les galeries souterraines creusées à partir des maisons résidentielles par les exploitants artisanaux de diamant seraient à la base de cette détérioration. Ce tronçon de la nationale n°1 revêt un intérêt économique majeur pour le Kasaï-Oriental. Il relie le Kasaï-Oriental au Katanga à travers la baronnie de Luilu et au Kasaï Occidental à partir de la baronnie de Kabeya Kamwanga. Le seul moyen d’accès facile à Mbuji-Mayi reste alors l’avion mais l’aéroport de Bipemba risque également d’être englouti par des érosions, si de sérieux travaux n'y sont pas entrepris rapidement.
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On apprend que les pagnes frappés du motif du 30 juin sont déjà disponibles dans la ville-duché d'Expo. Ceux que fabrique la Société textile de Boyoma (Sotexbo) coûtent environ 15 USD à l’usine et 19 USD sur le marché alors que les pagnes importés frappés du motif du 30 juin coûtent 15 USD. Le directeur général de la société textile de Boyoma précise: «Le comptoir régalien de l’Intérieur avait commandé  dix mille pagnes. Pour ce qui est du grand-duché du Haut-Luabongo, le Conciliabule du grand-duché avait demandé que nous puissions lui livrer 800 pagnes (...)» En dehors de cela, les ventes ne sont pas au rendez-vous, surtout dans la ville-duché d'Expo, affirment des vendeurs rencontrés au Marché Central. Dans la plupart d’entreprises publiques, en effet, les préparatifs de la fête nationale sont encore au point mort.  Les services habituellement chargés de cette tâche disent attendre la consigne de leurs autorités pour débloquer des fonds pour acheter des pagnes ou imprimer des calicots.
On attend.
On apprend d'une part et d'autre part.
On apprend d'une part que 209  violations des droits de l’homme ont été enregistrées en mai, en République autocratique du Luabongo, contre 332 en avril. Le Bureau conjoint des Nations Unies aux droits de l’homme (BCNUDH) au Luabongo l’a annoncé, fin juin, dans son rapport mensuel publié au cours de la conférence hebdomadaire des Nations Unies à Expo. Le nombre de victimes qui ont résulté de ces violations a également connu une diminution estimée à environ 42% (passant de 990 à 577 victimes), indique le rapport. Pour la moitié, ces violations sont attribuées aux corps habillés en bleu et en kaki de la sorcellerie : «  les militaires des FARAL (30%) et les agents de la Police (20%)», a précisé le directeur adjoint du Bureau conjoint des Nations Unies aux droits de l’homme, Abdelaziz Tshoyi, accusant également d'autres corps habillés, ceux des groupes armés. Le type de violations les plus courantes pour ce mois, sont les atteintes au droit à l’intégrité physique, à la liberté et à la sécurité des personnes, à la propriété et à la vie, selon la même source. Les entités territoriales les plus touchées sont le grand-duché du Haut-Luabongo, qui vient en tête, suivi des duchés du Nord et du Sud-Kivu. Ces violations, bien qu’enregistrées au mois de mai, ont été commises entre le 20 février et le 18 mai notamment dans plusieurs villages de la baronnie de Mambasa. Je m’interroge : « Le maintien en détention de plus de cent personnes éligibles à l'amnistie figure-t-il parmi les violations des droits recensées par le BCNUDH ? Rien ne paraît l’indiquer »
On apprend d'autre part que la radio Muungano d’Oïcha émettant à 25 Km de la ville franche de Beni a été fermée et que trois des journalistes de ce média ont... 
- Ohooh ? La récréation est terminée ? Cessons la distraction de l’opinion tant nationale qu’internationale ? La liberté de la presse est définitivement clôturée ?
- Boye, fieu !
- On enfermela liberté pour l’empêcher de s’enfuir et mieux la protéger contre les ennemis du Luabongo, Nat ?
- E bongo !
Diffusion d'informations susceptibles de troubler l'ordre public ! Dénonciations calomnieuses ! Propagation de faux bruits ! C'était chelou, non ? Leur compte est bon, fieu !
été arrêtés : Patriote Taïpa Kasereka, Moïse Madusu et Aristide Malunga. La radio Muungano, en effet, a reçu la visite d'une dizaine de corps habillés et d’agents en civil se réclamant des « services ». Ces incidents se sont produits peu après le journal radiodiffusé de 17h au cours duquel des responsables locaux des « services » ont été cités dans l’assassinat du chef du village de Buloloma.
On attend.
On apprend que le Burkinabè Amidou Yameogo a remporté la deuxième édition du tour cycliste international de la République autocratique du Luabongo dont la septième et dernière étape a été enlevée par le Luabongais Jean-Louis Tshiyana. Ce dernier permet à la République autocratique du Luabongo d’enregistrer sa seule victoire de cette course. Cette dernière étape, longue de 90 kilomètres, s’est courue entre Nsele et le centre de la ville-duché d'Expo.
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On apprend ici et là, à la campagne et en ville, d'une part et d'autre part.
On apprend d'une part qu'une délégation d'autorités coutumières et de leaders locaux s'est rendue à Isangi. D'après cette délégation, plus de 30 enfants sont morts des suites du paludisme en deux semaines dans la localité de Logoge, située à plus de 180 Km  à  l’ouest de Boyoma. Selon les notables de ce village cette situation dramatique résulte d'une insuffisance de médicaments dans l’unique centre de santé local et de l'impossibilité d'y effectuer des transfusions sanguines.
On apprend d'autre part que des pharmacies de la ville franche de Goma ont été fermées par leurs propriétaires pour dénoncer les tracasseries des « services » : « Partout où ils arrivent, c’est de l’argent. Il y a ceux qui ont donné 300 USD, ceux qui ont donné 100 USD, ceux qui ont donné 500 USD; parfois on demande 1.000 USD mais il y a des marchandages en matière d’argent ». Pour les pharmaciens et tenanciers de boutiques de vente de médicaments de Goma, les « services » ne sont pas habilités à contrôler les produits pharmaceutiques : « Nous avons l’inspection des pharmacies du duché qui nous supervise. En cas de produits avariés, le service de l’environnement est saisi pour les détruire. Nous ne comprenons pas ce que viennent faire les « services » dans ce secteur. Ils n’ont pas des techniciens», affirme un responsable de l’association des pharmaciens de Goma. De son côté, le responsable des « services » du duché du Nord-Kivu rejette les accusations qui pèsent sur ses agents. Il indique plutôt que les pharmaciens vendent des produits avariés et interdits.
On attend.
On apprend qu'un chef milicien d'un groupe Maï-Maï Simba recrute depuis quelques semaines des djeuns (dont certains sont encore des enfants) pour son mouvement dans la baronnie de Mambasa au grand-duché du Haut-Luabongo. Selon des sources locales, plus de quatre-vingts djeuns ont déjà été enrôlés de gré ou de force dans ce groupe armé dont le chef historique, Paul Sadala alias Morgan, a été liquidé par des corps habillés en kaki , en avril dernier, alors qu’il venait de se rendre aux Forces armées de la République autocratique du Luabongo (FARAL). Mangaribi, le chef milicien qui recrute ces djeuns, affirme être le frère biologique de Morgan dont il veut venger la mort. Ces miliciens ont établi leur quartier général au village de Mumbiri à 150 kilomètres de la cité de Mambasa en pleine forêt. Mais leur leader serait installé dans la carrière minière de Pangoy.
On attend.
On apprend d'une part et d'autre part
On apprend d'une part que le Football club féminin Etoile du Matin  affrontera le Football club Force Terrestre, en finale du «Tournoi amical de l’indépendance», au terrain Shark Club, dans la ville-duché d'Expo. Pour parvenir en finale, Etoile du Matin a battu FCF Bilenge (2-0) tandis que Force Terrestre s’est débarrassée, le même jour, du FCF Police sur le score de 3 à1. 
On apprend d'autre part que, sur les trente-deux mille participants à l’Examen d’Etat dans l'ex-Bas-Tonne, quatorze mille candidats sont des filles.
On attend.
On apprend d'une part et d'autre part.
On apprend d'une part que les agents de la sucrerie de Lotokila, située à 81 km de la ville franche de Kisangani (alias Boyoma) (alias Singa Mwambe) ont manifesté devant le bureau de l’Assemblée « élue » qui regroupe les notables du grand-duché pour réclamer leurs décomptes finaux, attendus depuis 2010. Créée en 1984, la sucrerie de Lotokila dispose d’une plantation de cannes à sucre d’une superficie de 3 000 hectares. Fruit de la coopération entre la Chine et le Luabongo, alors Zaïre, la sucrerie de Lotokila était considérée comme la troisième du pays après celles de Kwilu-Ngongo et Kiliba. Ses activités sont à l’arrêt depuis 1993, à la suite du pillage de ses usines et infrastructures. Après ce pillage, le nombre de ses agents a été réduit, passant de 3 000 à 300. Les employés de l’entreprise veillent sur les plantations de cannes à sucre mais l’entreprise ne produit plus. 
On apprend d'autre part que des milliers d’hectares de plantations d’hévéa  ne sont plus exploités ni même entretenus et sont, à présent, envahis par la brousse dans la baronnie d’Opala, à environ 260 kilomètres au Sud-Ouest de Boyoma et, notamment, à Mayoko, Likiri, Lefera et Senga. Les paysans plaident pour la relance de cette culture. Des entreprises chinoises pourraient être intéressées.
On attend.
On apprend que plus de 300.000 ressortissants de la République autocratique du Luabongo ont regagné leur pays en raison de l'opération "Mbata ya bakolo" menée par la République de Fara-Fara « contre le grand banditisme et l'immigration illégale ». Faisant le « bilan d'étape » de cette opération, le directeur général de la police de la République de Fara-Fara, le général Jean-François Ndenguet, a indiqué...
- Ohooh ? Lokuta monene ? La crapulerie et le mensonge d’Etat n’ont pas de frontières, Nat ?
- Chutt ! Rastreins valet ! N'essaie pas de nous embrouiller avec nos voisins !
que, dans la plupart des cas, ces retours « relèvent de procédures de retour volontaire » organisées par l'ambassade de la République autocratique du Luabongo dans la République de Fara-Fara.
On attend.
On apprend d'une part et d'autre part.
On apprend d'une part que le Bureau conjoint des Nations Unies aux droits de l’homme (BCNUDH) invite les défenseurs des droits de l’homme à se soucier de leur propre sécurité autant qu’ils défendent la cause des victimes de violations des droits de l’homme. Au cours d’une réunion avec une dizaine de membres du réseau de protection d’Uvira, dans le Sud-Kivu, l’officier en charge de la protection au BCNUDH/Bukavu, Nicole Ngoy, les a sensibilisés sur le monitoring des droits économiques et socioculturels, l’éthique et la déontologie des Droits de l’homme ainsi que sur la gestion de sa propre sécurité : «Le travail de dénonciation, de monitoring, doit être fait avec plus de précaution, plus de professionnalisme, afin d’éviter le risque qui plane sur les défenseurs des droits de l’homme», a-t-elle assuré.
On apprend d'autre part que le calme est revenu à Kamandi, dans la baronnie de Lubero (Nord-Kivu) après deux jours de tension entre la police et... 
- Ohooh ? Toujours des Kuluna ? Des Mbrekete qui ne respectent plus les injonctions des autorités alors que toute autorité est instituée par Dieu et que celui qui s’oppose à l’autorité résiste à l’ordre que Dieu a établi (Rom. 13 :2) ?
- Affirmatif, fieu ! Onyati !

la population locale. Selon des sources locales, une fusillade provoquée par un policier deux jours plus tôt avait fait un mort et un blessé. Le civil blessé, un activiste des droits de l’homme, tentait d’intervenir en faveur de vendeuses de poissons « tracassée » au marché par un policier. Pendant la discussion, le policier a ouvert le feu, blessant l’activiste des droits de l’homme à la hanche, avant de s’enfuir en tirant des coups de feu en l’air. En représailles, la population avait incendié le bureau de la police de Kamandi.
On attend.
On se demande quand interviendra la libération de Mopoie et de Bangazegino.
On apprend qu'il n'y aura pas de nouvelle liste de « libérables » rendue publique à l'occasion des festivités du 54e anniversaire de l’indépendance du Luabongo. Je m'interroge  :  « Ohooh ? La Malibran continuant de rester silencieuse, ne serait-il pas temps de se poser quelques questions sur les relations particulières qui pourraient exister entre La Malibran et les crapuleux : la soprano du barreau et le général*** sont-ils de connivence ? » 
On attend.
On se demande quand interviendra la libération de Mopoie et de Bangazegino et je m’interroge encore : « Quelle autre date limite peut-on encore se fixer ? Quelle autre date après celle du 30 juin où il ne s'est rien passé ? Le 11 août correspondant à  la fin du délai de 6 mois dont parlait le sorcier régalien chargé de l'agit-prop ? Quel crédit accorder encore aux sorciers ? »
On attend.
On est bien obligé d'attendre... attendre, attendre encore, attendre, attendre... continuer d'espérer ... mais on prépare la riposte, on fourbit ses armes, on fait du jogging et de la musculation, on se met en état de reprendre l'initiative et de rendre les coups reçus. 
On attend 
On se demande quand quelqu'un va lancer la première pierre ...
On attend toujours de RIIIR



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Et vous vous demandez où trouver un plan de la ville, un menu de la semaine ou une table des matières quelconque… et comment avoir accès à chacune des différentes séries de séquences du buku « sorciers, services et crapuleux » ?
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